Voici une affiche que l’on devrait voir fleurir en mai à Clermont-Ferrand…
Cette campagne de l’ESCO-Wesford joue la carte de l’émotion, incarnée, par la mise en scène de ses étudiants, apparemment épanouis par ces « plus belles années » passées dans leur école de commerce.
Et ces étudiants sont bien réels, j’ai eu certains d’entre eux en cours ! J’ai en effet eu un grand plaisir à intervenir en tant que professionnel dans cette école sur deux modules: stratégie de communication (L3) et communication publique (M2).
Je salue l’ouverture de l’ESCO-Wesford qui a intégré ce module communication publique en deuxième année de Master dans un cursus Marketing-Communication souvent exclusivement orienté commerce/entreprise.
Parler de communication publique, c’est parler de communication de l’intérêt général, de communication institutionnelle et territoriale… Les rouages n’en sont pas moins les mêmes que ceux de la communication d’entreprise et je crois que les étudiants l’ont bien compris. Omniprésente, la #compublique (pour les twittos) reste néanmoins méconnue. La plupart des étudiants n’avait pas idée de la diversité de ses métiers, de ses acteurs et de ses missions. A l’issue de ces quelques heures passées ensemble, je crois (j’espère!) qu’ils en ont saisi l’intérêt, les enjeux et les potentialités, notamment en termes de débouchés.
Si les restrictions budgétaires touchent toutes les strates du paysage institutionnel français et, comme souvent en premier lieu, les moyens de communication, la communication publique est d’autant plus nécessaire que les citoyens/usagers de services publics ont une attente de plus en plus forte d’explications. Je reste convaincu que la communication publique a un grand rôle à jouer dans un contexte général moribond et qu’elle peut donc être la promesse d’emplois tout à fait intéressants et utiles. Avis aux étudiants…